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Edition 2014

 

L'édition 2014 aura été marquée par la venue du metteur en scène Giorgio Diritti, venu nous présenter son troisième long métrage "Un giorno devi andare".

Pierrette Raynfeld et José Caballero ont dévoilé les résultats des prix du public et du lycéen :

Le prix du public a été décerné au film "Viva la Iibertà" de Robert Ando, suivi de "Basilicata coast to coast" et de "Cha cha cha".

Le prix du lycéen a été attribué quant à lui au film "Io et te" de Bernardo Bertolucci, suivi de "Basilicata coast to coast", et enfin à égalité, "Un giorno devi andare" et "Acciaio".

Nous avons eu le plaisir d'accueillir 5740 spectateurs, soit une progression de 12% par rapport à l'année dernière. Nous vous attendons donc nombreux pour la prochaine édition du printemps 2015 !

Cliquez sur l'affiche pour ouvrir le fichier .pdf de notre catalogue, avec l'édito de notre conseiller artistique Jean GILI et les synopsis de tous les films

Liste des films à l'affiche :

 

Viva la libertà

Enrico Oliveri, secrétaire général du parti de l’opposition est inquiet : les sondages le donnent perdant. Un soir, il disparaît brusquement laissant une note laconique. C’est la panique au sein du parti, tout le monde s’interroge pour essayer de comprendre les raisons de sa fuite pendant que son conseiller Andrea Bottini et sa femme Anna se creusent la tête pour trouver une solution. C’est Anna qui évoque en premier le nom du frère jumeau du secrétaire général, Giovanni Ernani, un philosophe de génie, atteint de dépression bipolaire. Andrea décide de le rencontrer et élabore un plan dangereux.

Adaptation du roman Le Trône vide de Roberto Ando.

Un giorno devi andare

 

De douloureux évènements familiaux poussent Augusta, une jeune femme italienne, à remettre en question les certitudes sur lesquelles elle avait construit son existence. Sur une petite barque, et dans l’immensité de la nature amazonienne, elle commence un voyage en compagnie de Sœur Franca, une amie de sa mère, dans sa mission auprès des villages indiens, et découvre les tentatives occidentales de conquête du monde. Augusta décide alors de poursuivre son chemin pour aller à Manaus, où les gens vivent dans une favela. Là, au contact des gens simples, elle redécouvre la force ancestrale de l’instinct de vie.

Cha Cha Cha

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À Rome, à la sortie d’une boite de nuit, un adolescent trouve la mort dans un accident de voiture. Tout laisse à penser qu’il s’agit d’une simple collision, mais Corso, ancien flic devenu détective privé, est persuadé du contraire. Michelle, la mère du jeune homme et ancienne maîtresse de Corso, est à présent avec un homme de pouvoir, l’influent avocat Argento. Au cours de l’investigation s’ajoute la découverte du cadavre d’un ingénieur, apparemment proche de l’avocat. Corruption, écoutes téléphoniques, espionnage, règlements de compte : l’enquête va s’avérer difficile pour Corso, qui tente de faire éclater la vérité sur la mort du fils de Michelle.

La Grande Bellezza

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Rome dans la splendeur de l’été. Les touristes se pressent sur le Janicule : un Japonais s’effondre foudroyé par tant de beauté. Jep Gambardella – un bel homme au charme irrésistible malgré les premiers signes de la vieillesse – jouit des mondanités de la ville. Il est de toutes les soirées et de toutes les fêtes, son esprit fait merveille et sa compagnie recherchée. Journaliste à succès, séducteur impénitent, il a écrit dans sa jeunesse un roman qui lui a valu un prix littéraire et une réputation d’écrivain frustré : il cache son désarroi derrière une attitude cynique et désabusée qui l’amène à poser sur le monde un regard d’une amère lucidité. Sur la terrasse de son appartement romain qui domine le Colisée, il donne des fêtes où se met à nu "l’appareil humain" – c’est le titre de son roman – et se joue la comédie du néant. Revenu de tout, Jep rêve parfois de se remettre à écrire, traversé par les souvenirs d’un amour de jeunesse auquel il se raccroche, mais y parviendra-t-il ? Surmontera-t-il son profond dégoût de lui-même et des autres dans une ville dont l’aveuglante beauté a quelque chose de paralysant…

 

Très belle soirée où nous avons reçu le metteur en scène Giorgio Diritti qui nous a présenté son film «Un giorno devi andare » suivi d’un débat avec le metteur en scène et Jean Gili. Le public a donné son avis sur ce film très dérangeant, où l’actrice poursuit son chemin dans ce pays amazonien (magnifiques photos) à la recherche d’elle-même. La soirée de clôture du festival s’est déroulée le mardi 8 avril aux Ecrans.

Le pot de l’amitié préparé par Romain a bien terminé la soirée.
Merci à Jean Gili, aux bénévoles de l’association, aux sponsors et bien sûr à Pierre Ambrosioni et à Romain qui se sont démenés afin que la manifestation puisse avoir ce succès.

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